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Auteurs

  • Un texte non repris en livre de Jean Malrieu, publié d'abord par "Les Cahiers du Sud", n°373-374, septembre 1963, 344 pages

    Célèbre revue où ont publié tant de grands noms de la littérature, Les Cahiers du Sud ont fêté leur cinquante années d'existence dans ce numéro double n° 373-374 avec un hommage appuyé à Saint-John Perse : des souvenirs et témoignages de Ferdinand Alquié, Louis Brauquier, Marcel Brion, Gabriel d'Aubarède, Georgette Camille, Jean Cassou, Jean Cayrol, René Nelli, Gaëtan Picon, André Chastel, Toursky, Pierre Guerre, Georges-Emmanuel Clancier, Robert Lafont, Raymond Jean, Gabriel Germain. Textes de Gabriel Audisio, Roger Caillois, Jean Tortel, René Ménard, Jean Malrieu, Luc-André Marcel, Robert Rovini, Jean Todrani et Octavio Paz.
    Sans oublier un article du directeur Jean Ballard : "Coup d'œil sur notre demi-siècle", ni une lithographie de Georges Braque pour la circonstance, de toute beauté.

    Le texte de Jean Malrieu que je vous donne à lire ci-après a été republié, 40 années après sa première parution, par la revue Diérèse, dans un supplément à son numéro 21 de mars 2003, supplément dont il ne me reste... plus un seul exemplaire.

    Voici :

     

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  • "L'influence invisible", d'Alain Suied, éditions Le Temps qu'il fait, octobre 1983, imprimé à 300 ex., 32 pages, 32 F.

    En vous reportant à l'ancien blog, ma note du 7 septembre 2020 évoquait le regretté Alain Suied, qui a participé à Diérèse, comme poète autant que traducteur. C'était, en cette année 2020 de sinistre mémoire, une courte note à propos de "La lumière des origines", livre d'Alain Suied paru aux éditions Granit, en 1988. Un auteur de qualité, que fut ce poète et traducteur (1951-2008), né à Tunis (où j'ai dans le temps effectué mes études secondaires, au lycée de Mutuelleville). Traducteur de Dylan Thomas, Paul Celan, John Keats, William Blake (...), mais aussi un être d'une grande modestie. Quelque temps avant de tirer sa révérence, il devait m'écrire : 
    "Le présent désenchanté et aphone que nous traversons nous amène à redoubler d'attention, d'écoute, d'espoir. Mais n'est-ce pas toujours le fardeau lumineux du poète ?
         Dans la proximité,
         Avec gratitude"
    Il ajoutait que l'écriture est à entendre comme "négation positive, en ce sens qu'elle est remise en cause de soi, lueur noire comme un soleil dans la blancheur factice des normes."
    Le poème ci-après est dédié à François-Xavier Jaujard (1946-1996), qui dirigeait les éditions Granit, et fut lui-même traducteur, voici :

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  • "L'Exploration par l'écriture - Entretien avec Charles Juliet", de Yves Prigent, éd. Calligrammes, 17 août 1993, 72 pages.

    Yves Prigent, neurologue et psychiatre de formation psychanalytique, s'intéresse comme thérapeute; mais aussi comme lecteur et comme écrivain, aux différents dispositifs de parole, de langage et d'écriture pour y discerner des cheminements vers une "vérité singulière", "propre à chaque sujet", l'habitant, le fondant, l'animant.

    Ecrivain et poète, Charles Juliet, qui nous a quittés en juillet 2024 est l'auteur de plus de 80 livres parmi lesquels "L'Année de l'éveil" "Affûts, "Dans la lumière des saisons. Lettres à une amie lointaine", "L'Inattendu", "Moisson" chez P.O.L., un volume paru dans la collection Poésie/Gallimard : "Pour plus de lumière - Anthologie personnelle (1990-2012)", en 2020. Il a publié son Journal en 11 tomes, des études consacrées notamment à Beckett, Giacometti, Bram Van Velde, Cézanne, des entretiens avec Pierre Soulages, Christian Bobin, Raoul Ubac, François Dilasser...
    Charles Juliet a très peu publié en revues (revue d'art TROU n° 2 et n° 19 et Diérèse 52/53, livraison consacrée à Thierry Metz, août 2011).
    Des extraits de cet entretien suivent, le premier contact de Charles Juliet avec Yves Prigent datant de mars 1990, où le quatrième tome du Journal avait été adressé au neurologue, prélude à une amitié naissante :

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