- Page 3
-
Lesdites éditions étaient alors implantées au cœur de Paris (4 rue Beautreillis), c'était avant la disparition de Michel Camus qui a résidé à cette adresse jusqu'à sa mort fin janvier 2003.
emblème de toute mon adolescence où je découvrais que le poème peut durer bien au-delà de lui-même.
-
Le courrier des lecteurs : à propos de "Diérèse" 83, Hiver-Printemps 2022, 314 pages, 15 €
Comme vous l'avez compris en lisant le chapitre "Rubrica" in D.83, m'intéressent les réactions à chaud, voire les analyses des auteurs ou lecteurs de Diérèse. Lettres ou courriels qui ont mon estime, j'en ai sélectionné ici deux en les restituant tels quels, signes de la vie même de cette publication, indépendante (et non subventionnée).
Pour commencer, un traducteur que vous avez pu apprécier dans ses traductions de Pouchkine et qui a su se pencher attentivement in D.83 sur l'œuvre de Carlos Nejar, un poète mal connu dans l'Hexagone ; un bel ensemble donc, choisi par ses soins, publié en bilingue, dans ce numéro qui vient clôturer les vingt-quatre années d'existence de la revue. S'y exprime aussi un lecteur/auteur - avec mes remerciements pour ces échanges, bien venus.
A dire vrai, un travail qui me passionne toujours autant, par ses imprévus, ses heureuses surprises comme celle d'avoir pu publier dans cette livraison quelques pages inédites de Thierry Metz : avec, faut-il le souligner, toute ma gratitude à Françoise M., qui fut la femme du poète.