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A mon tour je voyais gerbes d'or petits pas se confondre à des pensées presque paisibles répondre à l'appel d'une transparence aux corps étrangère et l'étoile et le mot inventer le sifflement de l'astre l'assemblage du bronze et des corolles se frayer un regard dans le Livre des sables
A mon tour je voyais profondes les racines resurgir à l'écho d'un rire imprégné de neige de perspectives aveugles comme la main capte pour accueillir l'ombre de l'avenir qui agit sur le présent belle ma belle contemple le monde hostile se déliter entre tes doigts de nacre pur la Nature cette aînée que nous jalousons tant depuis que nous avons appris à dire à réciter de mille façons la Fable depuis les recoins de la mémoire
A mon tour je voyais la même bile se répandre sur l'argile aux boucles rondes à la périphérie des îles où chacun suit sa vocation particulière belle ma belle sache discerner les vents séparateurs de l'esprit au-dessus des fumées sur la vitre éclairée par des fougères ébouriffées cherchant qui déchirer entre le poids et la mesure le rouge grave où les épaules ploient devant de vastes fenêtres quand plus rien ne compte que le jour généreux qui chante entre nos lèvres unies