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Le feuillage heurtant de front le voile de l'eau et son visage retiré par une sorte d'inversion change de monde familier des confins de la clairière humaine qui empêche alors l'obscurité d'advenir
Que ne puis-je retrouver ce qui fut son souffle et traverser la place qui l'a conduit ici où l'inquiétude devait être son ultime pierre de touche
Ces feuilles d'automne un fil de vie une pluie d'or les anime encore aux dires de la sybille et sous l'ondée tête dans les mains paraissent à même un ciel griffé de roses les rouges fleurs de la sauge
Si le temps ne compte plus quelle passerelle emprunter pour retrouver le présent éternel de l'enfance l'intimité brûlante de la terre en ses timides argiles