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Au ponton d'une rime sur la table de verre tu écoutes bruire la solitude des jours mes mains en toi renouvelées abordent la langue des chemins et le mufle luisant des roches touchent aux confins les plus reculés de la conscience peignent l'imaginaire de cet absolu
Ce sont là-devant offertes en attente peintures d'Italie claires une troublante dérive vers ces toiles de Nicolas de Staël peintes lors de son voyage en Sicile toute chronologie leur est inutile ce qu'elles donnent creuse la durée au gré de l'histoire d'une œuvre à l'autre reproduisent le même immobile frémissement
Frère poète qui répondait au nom de Paul Engelibert tu t'es pareillement défenestré un jour de décembre et le bleu se fit bas sur l'huile du soir naissant l'horlogerie des particules avait trouvé sa proie en un monde qui fait sien l'extrême que l'on ne peut élider