En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Tout ce que l'on n'a jamais dit sur la beauté la brutale clarté de la rue les visions singulières et les cheveux de sel dont se chargent les voiles de monde en monde quand la boussole du cœur nuancée de sang bat au rythme de cela même dont les dieux sont redevables là où s'enneigent les entrailles où s'engouffrent les vents tu vas libéré mais sans issue ouvrir les portes du destin descendre les vallées du sommeil parées d'araucarias
Tout ce qui dans le Grand miroir voile la beauté et vole le regard nous rappelle que nous ne sommes que ces grains d'éternité pillés par les freux vus s'envoler d'une fenêtre où musarde l'innocence belle en livrée bleue au long d'yeux verts tremblantes frondaisons