En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
L’air s’est empli de présences aériennes quelque chose se tisse en toi libre de toute attache une invisible architecture répercute ses secrets millénaires divertis d’éprouver la main de l’insensé
L’été n’est plus buisson chargé de baies mais tes doigts chantent entre les figures que dessine une géographie mentale tu t'étends là bu par l'œil de l'horloge ce qui passe a la couleur du secret et tu ris dans mon rire vers le dedans de ce qui nous revient ignorant la césure
L'intime seul désigne l'âme sentinelle à désirer toujours elle croît portée par le souffle de l'heure un duvet d'aile flottant dans les chambres de la mémoire une fresque de chrysalides