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Oublié de toi-même pour n'être plus qu'un signe de feu entre mille dans l'immobile miroir parc de la Brèche aux loups à contempler le tracé d'avions dans la ciellée à les entendre prendre de l'altitude
Sur le tapis des pas la terre est un sillage me font remarquer Gaëlle et Diane à tes côtés là tout près le soleil quête l'horizon derrière les pavillons tandis que bondissent entre les herbes remuées des grenouilles de si petite taille sous le babil de la lumière
On ne saura quoi se récuse dans la retenue du cœur vivre c'est l'architecture que les yeux gardent en mémoire la robe et la crinière du peintre d'avant la soif et d'après l'eau il fait doux les cirrus nous semblent flocons de l'au-delà il n'est rien à cette heure pour nous en détourner
Mais que dire que faire qu'inventer pour satisfaire le désir d'éternité sans cesse contrarié l'air violet tremble dans le silence plus rien que l'image sans cesse répétée de ce départ sans retour possible à même le monde transpercé par le temps