En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Les yeux intouchables du jour d'un bord à l'autre des rives des bosquets où la terre ouverte puise l'astre-roi la saison domine la couronne du tilleul est à son plus beau
* * *
Le feu des roches invente un lieu sans mesures et sous l'aile basse le chaos parle de la vie qui repose frère meurtri le front contre la dalle embrassant la maigre faveur du premier signe de vie une dernière fois
* * *
Mort le mot qui vient aux lèvres aimante l'éphémère et le destin libre la vue au centre de ce centre quand descend la rosée pose-toi n'attends pas le rire des revenantes
* * *
L'heure sans nom investit le dessin des eaux souterraines s'empare de ton corps pour le tourmenter encore s'il se peut en sa timide argile tressaille l'apparence