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Glissant sur l'horizon dans le pur noyau de lumière c'est l'heure du passage flammes d'ambre rosissant les formes des nuages dessinées emportées dans un prodigieux champ de braises qui par ondes successives mordorent les terres il te faut longer la brûlure ouvrir l'image à elle-même dans les profondeurs du temps entre l'air et les nuées tout est là qui vogue à l'estime le cœur se love se chaperonne d'écarlate réanime la rose des sables - c'est un peu de ta voix qui agite le silence chevelure parée de tous les apprêts du voyage
Il ne restera rien de la ville de ses chemins de ronde où lire l'avenir qui se fraie un regard à mesure qu’elle s’efface