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Une main retrouve une autre main ainsi le monde a t-il pu commencer dans le même mouvoir dans l'oubli de se savoir plus démuni que jamais
Devant la deuxième fenêtre tu regardes les pluies de printemps disperser sur des billes de cristal bleu l'étonnante partition qui nous maintient en vie et le sable qui tombe de tes cheveux se mêle au bruissement du Temps aussi fluide que subtil le sel du désir
Ainsi l'image en ses abords chargée de signes mouvants défie la mesure elle double d'un halo diurne le corps des étoiles fixes entrevues dans la transparence de toute chose dans les choses
Au bord du grand sommeil l'été qui se profile adoucit le théâtre de l'histoire en ses méprises souveraines