"La Paix chez les Bêtes", Colette, Fayard et Cie éditeurs, 1916, 256 pages - en sus, une lettre inédite de la romancière
Dans l'avertissement que portent les premières pages de "La Paix chez les Bêtes", Colette annonce :
"A l'heure où l'homme déchire l'homme, il semble qu'une pitié singulière l'incline vers les bêtes, pour leur rouvrir un paradis terrestre que la civilisation avait fermée. La bête innocente a le droit - elle seule, - d'ignorer la guerre.
Dès le printemps de 1914, des passereaux nichèrent, respectés, dans la gueule ébréchée d'un canon..."

