Henri Michaux - Page 2
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"… où l’on se trouve enfermé, une des impressions les plus odieuses que je puisse avoir et contre laquelle j’ai lutté ma vie durant (…) retrancher, réduire (…) au lieu de l’étalement de tous mes textes, qui à coup sûr me dégoûterait et à brève échéance me paralyserait" (1) :