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Cendre coupant le signe du savoir qui passait pour irrésistible viens te perdre dans le rayon mortel dans le très lent démêlement du matin nous volerons entre les ombres sereins
cendre majuscule mémorable ne manque que la formule du passage des cônes ramassés dans l'herbe pleurent leur essence où viendra se réduire un univers telle est la romance le bourdonnement de la foule le chemin qui fait son chemin sans se soucier du tremblement qui l'achemine
cendre fragments peaux mortes entre souffle et bruits de gorge avec quoi peser une fumée avec qui composer ma ténébreuse quand le matin revêtit sa robe déchirée laissant paraître les Sept Sceaux quelque chose d'extérieur s'écrit là volutes volutes où s'éploie le mûrier sauvage dans des odeurs de bitume de natrum et de myrrhe il n'est qu'un pas à faire pour infiltrer la liberté rongeuse du vent
cendre au flanc des vases à l'odeur fauve comme un bras de la terre en quête du chiffre secret qui nous résume à ce peu traversant les rideaux la vraie distance de soi à soi enfin résolue